Toute une page sur Henri Nick dans Réforme; Christophe Chalamet, lui-même auteur d’un ouvrage sur le Christianisme social, cite Grégoire Humbert et sa remarquable édition des Lettres de guerre d’Henri Nick chez Ampelos.

Toute une page sur Henri Nick dans Réforme; Christophe Chalamet, lui-même auteur d’un ouvrage sur le Christianisme social, cite Grégoire Humbert et sa remarquable édition des Lettres de guerre d’Henri Nick chez Ampelos.
« une aventure historique et éditoriale »
Belle recension dans Libre Sens par Gabrielle Cadier du dernier tome de la Correspondance de guerre de Henri Nick, Le dernier vainqueur, annotée par Grégoire Humbert.
Le 6ème et dernier tome de la correspondance de guerre d’Henri Nick.
« Avec l’entrée progressive des troupes américaines dans la guerre, l’état d’esprit des jeunes gens en zone non occupée change ; les enfants Nick et leurs amis offrent une bonne illustration de cette forme étonnante d’anticipation de la paix, alors que rien n’est encore gagné !
Pour Henri Nick, c’est le retour à la vie civile. Il adresse aux soldats de son 1er corps d’armée une lettre qui a tout d’une épître.
De retour à Lille, il reprend les activités du Foyer du Peuple. Certains collaborateurs sont encore là , d’autres sont de retour de l’enfer, plusieurs ne reviendront pas.
Le pasteur Henri Nick (1868-1954) est l’une des grandes figures du Christianisme social protestant. Pendant plus de cinquante années, il fait de l’évangélisation populaire dans le faubourg lillois de Fives. Conscient de l’importance du milieu dans la construction d’individualités libres, il se préoccupe aussi bien de la misère sociale que de la situation morale de celles et ceux qui fréquentent le Foyer du peuple.
De sensibilité socialiste, sans être un pacifiste radical, il soutiendra les revendications des objecteurs de conscience dans les années trente puis assistera des familles juives persécutées durant la Seconde Guerre mondiale. Il sera reconnu « Juste parmi les Nations ».
Prix : 29 €
Une recension de Gabrielle Cadier pour le tome V de la correspondance d’Henri Nick: C’est une véritable somme que nous livrent là les éditions Ampelos et il faut saluer le travail de « bénédictin » de Grégoire Humbert qui, avant de nous présenter les textes, a eu la peine de les déchiffrer !
La correspondance de 1917 de Henri Nick; Dans ce tome 5, après la bataille de la Somme, le pasteur Nick, veuf depuis le début de l’année 1917, rejoint le 1er corps d’armée et participe en avril à la grande offensive du Chemin des Dames. Henri Nick et son ami l’aumônier catholique Achille Liénard se portent alors au plus près des combattants à Craonne, sous la tranchée du Balcon…
A écouter le 9 novembre 2018 à 23H sur France Culture, « Un amour dans la tourmente » lecture de textes de Henri et Hélène Nick tirés de leur correspondance de guerre.
Toute une page sur la correspondance d’Henri Nick dans Croire et vivre de novembre 2018
Dans la revue Libre Sens de mars-avril 2018 Gabrielle Cadier-Rey fait une recension des 3 premiers tomes de la correspondance de guerre de Henri et Hélène Nick.
La sortie du quatrième tome de la correspondance d’Henri et Hélène Nick, Ce qui laboure nos cÅ“urs, a été signalé par Regards Protestants.
« En pleine attaque [bataille de la Somme où il sera blessé] le pasteur Nick, dont la haute silhouette (toujours surchargée de musettes, couvertures, paquets divers, tout cela destiné aux blessés) apparaissait au milieu des combattants chaque fois qu’il y avait un coup dur »
(Journal des Marches et des Opération du 201e régiment d’infanterie)
Toujours d’une rare richesse, ce quatrième tome de la correspondance Nick suit l’aumônier Henri Nick de la Somme à Verdun, toujours dans l’action et la compassion ; ses lettres éclairent les problèmatiques humaines, militaires, religieuse, domestiques et philosophiques de la vie au front.
Lorsqu’en juin 1915, le caporal Edmond Cheuva du 43e régiment d’infanterie refuse de participer au peloton qui doit fusiller des soldats russes et arméniens, il justifie son attitude auprès de ses chefs en se référant aux conseils que lui a toujours prodigués Henri Nick, présentement aumônier militaire protestant du 1er CA mais qui est avant tout le directeur de l’oeuvre d’évangélisation protestante au sein de laquelle le jeune homme a grandi. Edmond Cheuva est exempté de peloton d’exécution.
Toujours d’une rare richesse, ce troisième tome de la correspondance familiale Nick continue de porter notre attention sur des problèmatiques diverses, domestiques parfois, protestantes souvent, universelles dans bien des cas.
Le pasteur Henri Nick (1868-1954) est l’une des grandes figures du Christianisme social protestant. Pendant plus de cinquante années, il fait de l’évangélisation populaire dans le faubourg lillois de Fives. Conscient de l’importance du milieu dans la construction d’individualités libres, il se préoccupe aussi bien de la misère sociale que de la situation morale de celles et ceux qui fréquentent le Foyer du peuple.
Aumônier pendant la Première Guerre Mondiale, il s’illustre en 1916 lors des combats de Verdun puis de la Somme, durant lesquels il est blessé, ainsi qu’au Chemin des Dames en avril 1917.
De sensibilité socialiste, sans être un pacifiste radical, il soutiendra les revendications des objecteurs de conscience dans les années trente puis assistera des familles juives persécutées durant la Seconde Guerre mondiale. Il sera reconnu « Juste parmi les Nations ».
Prix : 26 euros
Henri Nick apparaît dans la partie du Mémorial consacrée à « Dieu sur les champs de bataille ». Avec mention de sa correspondance 1914 : La main de l’Éternel serait elle trop courte ?
Grégoire Humbert qui a présenté et annoté la correspondance de Henri et Hélène Nick la présente sur France2 dans l’émission de Présence protestante : Protestants, parlons-en!
Le 2ème tome de la correspondance de Henri & Hélène Nick mentionné dans Regards Protestants.
« [Une] correspondance passionnante et abondante, exceptionnelle même ! »
Xavier Boniface dans la Revue d’Histoire de l’Eglise, 2015
« véritable édition scientifique de ces textes, avec toute une série de notes, érudites mais très claires»
André Encrevé, Bulletin de la Société d’Histoire du Protestantisme Français, 2015.
Dans le 2e tome de cette correspondance, Henri et Hélène Nick abordent tous les aspects d’une guerre qui est maintenant totale. Les combats de Champagne du début de l’année 1915 sont parmi les plus durs qu’Henri Nick connaitra : leurs paroissiens sont touchés soit par l’occupation allemande, soit par la mort de proches ; leur famille et leurs amis ne sont pas épargnés.
Et pourtant, ils essaient de poursuivre leurs engagements malgré les difficultés liées au conflit. La suite de cette correspondance exceptionnelle par sa richesse et par les personnalités atypiques d’Henri Nick et de son épouse Hélène, nous plonge toujours plus en avant dans la vie de ces chrétiens engagés et de leur entourage au front comme à l’arrière.
Le pasteur Henri Nick (1868-1954) est l’une des grandes figures du Christianisme social protestant. Pendant plus de cinquante années, il fait de l’évangélisation populaire dans le faubourg lillois de Fives. Conscient de l’importance du milieu dans la construction d’individualités libres, il se préoccupe aussi bien de la misère sociale que de la situation morale de celles et ceux qui fréquentent le Foyer du peuple.
Aumônier pendant la Première Guerre Mondiale, il s’illustre en 1916 lors des combats de Verdun puis de la Somme, durant lesquels il est blessé, ainsi qu’au Chemin des Dames en avril 1917.
De sensibilité socialiste, sans être un pacifiste radical, il soutiendra les revendications des objecteurs de conscience dans les années trente puis assistera des familles juives persécutées durant la Seconde Guerre mondiale. Il sera reconnu « Juste parmi les Nations ».
Pourquoi Dieu n’intervient-il pas pour empêcher cette guerre ?
Cette question, sous diverses formes, tenaille les croyants dès la déclaration de guerre.
Henri et Hélène Nick, chrétiens sociaux pacifistes, aspirent à un monde réconcilié, prémices du Royaume de Dieu. Ils vivent ce temps de guerre comme un échec. S’ils adhèrent à l’ « Union sacrée », la question essentielle demeure : comment témoigner de leur foi en un Dieu d’amour au milieu du cataclysme ?
Henri Nick s’engage comme aumônier dès août 1914 ; il a 46 ans !
Sur le front, il retrouve des jeunes hommes qui, la veille encore, fréquentaient le Foyer du peuple de Fives, œuvre d’évangélisation populaire qu’il a fondée en 1901. Rapidement, il poursuit auprès d’eux son ministère de pasteur et d’aumônier avec le soutien de sa famille réfugiée à Marseille qui, de son côté, assure aussi le lien avec certains réfugiés du Nord.
Cette correspondance exceptionnelle par sa richesse, l’est aussi par les personnalités atypiques d’Henri Nick et de son épouse. A une époque encore marquée par un anticléricalisme virulent, il illustre l’action essentielle d’un homme d’Église au front et la capacité de réflexion et d’action d’un chrétien engagé face aux catastrophes de ce monde.
Le pasteur Henri Nick (1868-1954) est l’une des grandes figures du Christianisme social protestant. Pendant plus de cinquante années, il fait de l’évangélisation populaire dans le faubourg lillois de Fives. Conscient de l’importance du milieu dans la construction d’individualités libres, il se préoccupe aussi bien de la misère sociale que de la situation morale de celles et ceux qui fréquentent le Foyer du peuple.
Aumônier pendant la Première Guerre Mondiale, il s’illustre en 1916 lors des combats de Verdun puis de la Somme, durant lesquels il est blessé, ainsi qu’au Chemin des Dames en avril 1917.
De sensibilité socialiste, sans être un pacifiste radical, il soutiendra les revendications des objecteurs de conscience dans les années trente puis assistera des familles juives persécutées durant la Seconde Guerre mondiale. Il sera reconnu « Juste parmi les Nations ».